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EXTRAITS DE PRESSE
Résolument dans l'orbite de la création pure, les compositions de Pirotton
ne cessent de nous mener en des ravins sonores à franchir d'un pas allègre.
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L'art de Jacques Pirotton déclenche des orages bienfaisants.
(Marc Danval - Le Soir Magazine février 2009)
C'est à un carré d'as qu'on a affaire. La plupart du temps à la guitare acoustique,
Pirotton partage sans compter le plaisir qu'il a de jouer.
(Dominique Simonet - La Libre Belgique février 2009)
Un quartet dont l'entente complice repose sur équilibre subtil entre envolées acoustiques
Et contre-chants électriques : Un très bel album.
(Claude Loxhay - jazz Around août 2009)
C'est créatif, ouvert aux expériences et doté d'un fameux sens du swing.
(Le Mad - août 2009)
Ce Parachute remet les pendules à l?heure. Un son acoustique formidable, un toucher d'une délicatesse extrême, un phrasé terriblement efficace et surtout un lyrisme à fleur de peau.
...
Ce superbe album, riche, diversifié et finement ciselé, est un régal pour les oreilles.
(Pierre Dulieu - Dragon Jazz octobre 2009)
En ja, al van bij de eerste noot hoor je dat het goed zit. Pirotton en zijn makkers
Klinken geïnspireerd en karaktervol, krachtig zelfs.Ze leiden je rond in een wereld van gedurfde (akoestisch gespeelde) melodieën, vernieuwende structurer, rock-georiënteerde
Koorddansersstreken. Maar ook de lyrische momenten ontbreken niet.
(Marc Van de Walle - Jazzmozaïek avril 2009)
« Dans la lignée de René Thomas, Jacques Pirotton peut tout, aux frontières du free et du rock.
L'album "Old Woes New Wail" de J. Pirotton-S. Houben Incorporation (Alone Blue Records)
ne devrait pas rester un "coup" unique tant l'écriture et le jeu de Pirotton y explosent!
(Philippe Schoonbrood - Jazzman décembre 2006)
« Une telle diversité de climats, une telle variété d'atmosphères, il faut les oser... Le guitariste
ajoute ici une pierre blanche à une trajectoire atypique que l'attrait de l'exploration sonore et
de l'aventure collective guide davantage que le goût de la virtuosité digitale. »
(Thierry Quenum - Jazz Magazine novembre 2006)
« Voilà un disque de plaisirs. J. Pirotton et S. Houben, deux vieux briscards de la scène belge...
...un délire salutaire qui permet de "nettoyer" la place et de laisser se développer
"Old Woes New Wail", très dépouillé et minimaliste.... En solo, Pirotton égrène alors les notes
sur ses propres loops.... Et comme s'ils n'avaient pas envie de clore l'album, les musiciens
déposent délicatement les notes sur une boucle sans fin, qui rappelle un peu les ragas indiens,
histoire de poursuivre le rêve. »
(Jacques Prouvost - Citizen Jazz 27 avril 2006)
« Deux musiciens phare dynamitent leur langage. ... la chasse aux papillons noirs s'avère
rapide et efficace. ... Face à un tableau abstrait, la démarche est identique. Chacun va imaginer
sa propre histoire. »
(Marc Danval - Le Soir Magazine 16 novembre 2005)
« ...Autre surprise au fil de ces formations à géométrie variable, c'est, en fait, le discret Pirotton
qui apparaît au premier plan: un Pirotton qui se lâche totalement, fait exploser les sonorités
stridentes de sa guitare électrique, en circonvolutions hypnotiques autour de boucles obsédantes,
du solo absolu de Old Woes New Wail au quintet de Maybe Not, en passant par le quartet
échevelé de Mutinity And Retreat. »
(Claude Loxhay - Jazz Around novembre 2005)
« PHINC, entendez Pirotton-Houben Incorporation, c'est encore un coup d?une paire de
musiciens pleins d?imagination, d'enthousiasme et d'expérience. ... le résultat est improbable,
passionnant et rigoureusement inclassable. ... essentiellement de la musique vivante,
pleine d'un souffle dont elle n'est jamais à bout. »
(D.S. - La Libre Culture 2 août 2005)
« L'occasion sera belle de retrouver Jacques Pirotton, à notre sens le guitariste le plus inspiré
dont nous puissions nous enorgueillir. Son art déclenche une réelle fascination. A nous d'être
capables d'en capter les résonances. »
(Marc Danval - Le Soir Magazine 26 janvier 2005)
« Deux liégeois (S. Houben et J. Pirotton) avec un gaumais (S. Pougin), quel équipage pour ce
beau voyage. Le principe du jeu : Tordue à souhait, la guitare de Pirotton s'amuse à se mettre
en travers des belles envolées lyriques du sax d'Houben, tandis que Pougin veille au grain. »
(D.S. - La Libre Belgique 22 janvier 1999)
« Un melting-pot surexcitant où le temps et l'espace se démultiplient à chaque tour de manivelle,
brassant les styles et les âges en une gestalt puissante et éminemment personnelle. »
(Jean-Pol Schroeder - présentation du cd "We Can't Stop Lovin' You" 1998)
« Triomphe pour un trio exceptionnel. Plein d'humour, de lyrisme et de talent...
...S Houben et J Pirotton, deux monuments du jazz belge, amis de surcroît et dont la complicité
était belle à voir et... à entendre. »
L'Avenir du Luxembourg - Gaume Jazz Festival 18 août 1997)
« Jacques Pirotton, faux calme par excellence, qui économise tantôt ses moyens avec une ironie
contenue et tantôt libère des décibels "rocks" brossant ainsi comme accompagnateur ou comme
soliste des paysages abruptes et accidentés... »
(André Joassin - Le Soir avril 1996)
« Voici déjà le quatrième témoignage enregistré du guitariste liégeois... De René, il a gardé
la manière d'attaquer les cordes, les aller-retour et le découpages des phrases, alors
que Bill Frisell lui a sans doute apporté plus de complexité harmonique...
... n'a plus rien à prouver, il doit convaincre (c'est fait !) et rayonner hors frontières. »
(Jean-Marie Hacquier LeMonde de la Musique février 1993)
« ...et, sans crier gare, sans grande démonstration, sans vacarme médiatique, il est devenu un
des grands guitaristes européens du jour... s'il fallait à tout prix situer Pirotton dans la sphère
des cordes actuelles, ce serait sans doute quelque part entre Scofield et Frisell... »
(Jean-Pol Schroeder - Jazz in Time janvier 1993)
« L'art de Jacques Pirotton déclenche une réelle fascination. Il ne cesse d'irriguer le terreau
engrangé, pour faire fuser un chant ruisselant d'images puissantes. Il importe d'en capter les
résonances. »
(Marc Danval - Jazz Streets juin 1992)
« Tel un ours intuitif sur son rocher transcendant, bravant les orages salutaires ;
découle de sa guitare une paraphrase futée, juteuse et charpentée. Vive comme du mezcal. »
(Marc Danval - Jazz Streets juin 1992)
« "Les loups sortent du bois"... Des bois, il y en a à Bra et à Monthouet... De la personnalité,
ils en ont ces deux lascars-là. Si différents, si proches. »
(JAZZAMOR duo avec Steve Houben 24 avril 1992)
« ...où nous aurons l'occasion d?entendre "la relève" et quelle relève ! ... Il a véritablement "explosé",
composant un répertoire personnel d'une modernité incontestable mais sans outrances contestataires? »
(Guida Szabo - La Meuse 14 avril 1992)
« Sax 1990 pour son CD Jokari, Jacques Pirotton assurait la première partie de son frère de sang
et d'instrument, Philip Catherine. Après avoir joué notamment avec Jacques Pelzer, Chet Baker?
notre guitariste possède désormais un trio fidèle et homogène avec André Charlier et Benoît
Vanderstraeten. Une rythmique toujours sur la balle, distillant volontiers des soli de bravoure.
Tandis que Jacques fait l'élastique entre placidité et rapidité. Un jazz qui rit, moderne, soigné,
enlevé et inspiré. »
(Vincent Quittelier - Le Soir 28 octobre 1991)
« Proche voisin des Ardennes belges, ayant fui Liège et ses sortilèges, Jacques Pirotton développe
depuis une paire d'années un zèle acharné à vouloir sauter la frontière pour faire découvrir aux
francophones du sud de la ligne Ton-Chiers ses énormes capacités musicales. Le manche de sa Gibson
obstinément brandi vers les postes frontière, le guitariste inquiète plus d'un gabelou par le danger
qu'il représente pour notre culture guitaristique... Pirotton "assure" très fort. Grande virtuosité,
puissante expressivité alliée à finesse et émotion, compositeur, interprète...
Cependant, force nous est faite, devant tant de talents, de reconnaître : c'est dur à dire mais ce musicien
"a la frite" comme pas deux. Alors vous allez voir, que dans cette période de défense anti-migratoire de
contrôle des frontières... il va se trouver encore des services officiels pour céder à la pression belge
(non, pas la pils...)... Il est vrai qu'avec le Jazz... après les Nègres, les Juifs, les Italiens et les Gitans,
Ça y est ! les Belges vont déferler dans la plaine maintenant !
(Jean-François Poncin - présentation d'un concert à Longwy 24 octobre 1991)
« Le SAXE du meilleur CD a été attribué au guitariste Jacques Pirotton pour son album "Jokari".
Sous ses airs placides, Pirotton est capable de déclencher des orages bienfaisants. Son oeuvre
écrite, à la fois intelligente et teintée d'humour, est à découvrir d'urgence par ceux qui ne
s'en tiennent qu'aux évidences. »
(Jazz Streets - janvier 1991)
«...j'ai la plaisir de vous annoncer la naissance d'un grand guitariste et compositeur en la personne
de M Jacques Pirotton...De ce fait, je vous engage instamment à écouter ce dont ce digne héritier
d'une noble lignée est capable... un médiator aussi stellaire... une guitare aussi bien entourée... »
(Thierry Quenum - Jazz Magazine septembre 1990)
« Jokari s'avère, pour notre plus grand plaisir, le fruit d'une maturité accomplie... Ensuite parce que
le Pirotton instrumentiste se double aujourd'hui d'un Pirotton compositeur bien plus original et
audacieux qu'auparavant... »
(Jean-Pol Schroeder - Jazz in Time septembre 1990)
« Somptueux, avec ses durables enchantements, le style de Jacques Pirotton largue les amarres des
influences d'antan. René Thomas fut de toute évidence son maître mais, la maturité d'aujourd'hui
se libère de la royale entrave. Le jeu de Jacques Pirotton recèle en ses méandres une éloquente densité.
Il tresse des cantiques à la mesure de sa veine généreuse. »
(Marc Danval - Pourquoi Pas - 18 mai 1988)
« Une première écoute du dernier-né du guitariste aqualien, "Labyrinthe", révèle un Pirotton quelque peu
surprenant si on le compare au Pirotton du LP "Happy Few", plus classique dans sa texture.
Toutefois, lorsqu'on relance le vinyl sur la platine, on se pénètre davantage du nouveau son Pirotton :
Plus dur, dans certains thèmes, plus rock aussi, plus diversifié. »
(Christian Dor - La Wallonie 20 avril 1988)
« De prime abord, on est frappé par sa discrétion, sa gentillesse, son refus de se prendre au sérieux.
Mais dès qu'il entame un dialogue avec son amie de toujours, on sent qu'il y a entre eux, une
profondeur à nulle autre pareille. Tantôt sensible, tantôt davantage expressif, Jacques Pirotton étonne, confirme,
s'affirme comme la valeur sûre de la guitare jazz en Belgique. »
(Christian Dor - La Wallonie 24 février 1988)
« Pirotton, bloc monolithique impassible, donne aux notes la possibilité de s'envoler.
De tous les guitaristes belges, il demeure le plus proche de René Thomas, tout en faisant appel
aux avalanches de Wes Montgomery et au lyrisme de Django Reinhardt. »
(Marc Danval - Pourquoi Pas ? 15 juillet 1987)
« L'album Happy Few est le résultat de cette rencontre de musiciens que rien a priori ne rapproche,
et pourtant l'osmose est parfaite. »
(Philippe Renaud - Notes juin 1986)
« Sur scène, Jacques Pirotton est modeste et concentré, mais sa guitare parle un autre langage :
Accompagnateur au tempo d'acier, il explose véritablement dans ses soli : de longues phrases
sinueuses terriblement logiques s'enchainent les unes aux autres sans effort, brusquement coupées
par une série d'accords arpégés ou une phrase qui fleure bon le feeling du blues. »
(Gilles Daems - Le Ligeur décembre 1985)
« Perdu dans un rêve subtil, avec la distraction apparente de ceux dont l'écoute est intérieure,
Jacques Pirotton ne s'est véritablement révélé que ces dernières années...
Ses explosions sont souveraines et le phrasé constamment généreux. Sa ferveur ne fait qu'ajouter
à ce rituel que ne devrait jamais cesser d'être l?improvisation. »
(Marc Danval - Pourquoi Pas - 26 novembre 1986)
« ...Et pourtant, Happy Few, le disque du duo Pelzer/Pirotton fonctionne bel et bien, mariant avec
beaucoup d'intelligence lyrisme cool et ton moderne en un clair-obscur fort séduisant. »
(Le Soir 12 septembre 1985)
« Bien bel album que celui proposé par les liégeois Jacques Pirotton et Jacques Pelzer.
Tous les styles s'y côtoient mais l'ensemble résonne pourtant d'une formidable unité. »
(André Drossard - Le Vif 11 juillet 1985)
« ...Puis arrive Pirotton, un élève de Bill Frisell chez qui ça s'entend si peu qu'on se demande
lequel, du professeur ou du disciple, a un beau brin de génie ! Le son, les doigtés, l'humeur, la plume
même : C'est du tout classique, revisité avec énormément de goût (même et surtout quand Pirotton
relit Ravel), cette guitare qui déroule ses contrepoints comme un tapis rouge à la rencontre des
pas feutrés de l'autre... »
(Daniel De Bruycker - Le Monde de la Musique juin 1985)
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